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OUI ! MON ENSORCELEUSE…

Ils sont Tes « QUOI » À TOI,

Tes « POURQUOI »,

Tes « COMMENT »,

Et Tes « OÙ » M’irradiant…

Qui enchantent mes heures

De leurs sourires fripons tisserands d’Un Bonheur

Où Tes éclats fous rires et Tes brûlants soupirs,

En mon ébauche d’homme… M’invitent à Devenir.

POURQUOI suis-je à ce point aimanté par ta vie ?

COMMENT, un beau matin, si belle, m’as-tu surpris ?

Et… Où m’emmènes-tu, Libre comme l’Oiselle,

Avec Ton air de rien qui m’a offert Ces ailes

Que je ne sais quitter, subjugué par Ton Charme,

Et les reflets bleutés de Tes vagues à l’âme ?

Du jour au lendemain

J’ai voyagé si loin…

En Ce nid aux dentelles

De Ta vie jouvencelle.

Tes « QUOI » aux pleins déliés,

Tes « POURQUOI » d’Or Perlés,

Tes « COMMENT » malicieux,

Et Tes « OÙ » Licencieux,

M’ont fait de l’œil… À moi !

Alors en eux se noie,

Délicat Prétendant,

Mon Trouble… Éperdument !

Et Son Prégnant Émoi,

Pour La Première Fois

Avec autant d’aisance,

Dénué de souffrances

Plane sur cette page

Où mon Être voyage

En Ta Féminité

Qui m’a ressuscité

Au val de ton corsage,

Là où bat Ton cœur sage,

Et… Mon âme Bohème

Qui Infiniment T’Aime,

Que tu sais enivrer

De Tes mille clartés

Et intimes allants

Dont je suis si friand,

M’allouant Ce Vœu Fou,

Madame qui fut ce « Vous »

Et céans mue en moi

Pour y naître… En ce « TOI »

Qui Épouse Mon Temps

De Ton Doux Firmament

En lequel je m’embue,

Si follement Ému

Par Tes sourires frisons,

Écuyers Enchanteurs

Façonnant Mon Bonheur,

Et Tes soyeux soupirs

Amants de Mon Désir,

Où germa Ma Ferveur

Pour TON Être « Vainqueur »,

Dès lors que je T’ai Lue…

Avant de T’avoir vue.

Aussi…

La Ronde de « TES » heures

Sur « MON » Cadran du Cœur,

« ELLE » , ne Me quitte plus.

Ainsi, Je M’Offre Nu,

M’infuse en Ce Meilleurs

D'Éros ensorceleur

Qui Me Soit Advenu,

Pour qu’en « TOI» Devenu…

« AMOUR »,

Je « ME » Dilue.