ET JE MEURS DE… T’AIMER !
ET JE MEURS DE… T’AIMER !
Des guipures de ton aura,
Aux raffinements rares,
Je ne me lasse pas !
Oh ! Si féminins fards !
Et je baigne ma vie
En ton doux lupanar
Où souffle mon envie
Mais sombre Cet Espoir,
Ensorceleur de Ton émoi.
Tout contre lui lovée
Tu sembles loin... De moi,
Ivre de Ta psyché.
Or, tu m'enlaces si près,
Parfois, en instants si fugaces,
Qu’aussitôt ressentis, l’après
De Tes oublis… Cruellement me glace.
Pour moi, le doute Te pénètre,
Tu ne sais pas vraiment
Si l’âme de Ton Être
Épouse Un Sentiment
Qui brûle, Vrai, Tes sens,
Mais me refuse encore, rebelle
En Son calice, Ta Fleur et ses licences,
À mon corps qui T’appelle.
Or, Brasier de l’esprit
Tu espères Mon Désir,
Bois mes Flammes d’Envies
En virtuel plaisir.
En « Notre » histoire, Éros,
Ainsi ne respire qu’à demi,
M’ignorant chairs et os
Au mi-temps de Ton lit.
Et je meurs de… T’aimer,
Comme un Fou, comme un Dieu,
Soumis à n’immoler
Mon Trouble qu’en Tes yeux.
Orphelin de Tes jours,
Plus encore de Tes Feux
Qui ignorent Mon Amour,
Je suis Ce Prétendant
De Ton aura, là-bas,
Qui sait m’éprendre « d’Elle »
Mais n’éprouve pour moi
Que simple ritournelle.
Or, je te sais si Belle
Et suis épris de « Toi »
Te refusant charnelle
À Mes Prégnants Émois
Qui espèrent « Tes » bras
Pour Embraser Mon Ciel,
Ne Désirant que « TOI »,
Muse Sacrificielle…
De Mon Amour, à « MOI ».
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