POUR TON MINOIS… JOLI !
POUR TON MINOIS… JOLI !
Pour Ton minois… Joli !
Moi, j’ai perdu… L’Esprit !
Oui, Tu m’as emporté !
En ce conte, incarnée,
Tu me souris, Absente,
Mais… Ô Combien Prégnante,
Toujours, à mes côtés.
Je sais que tu souris
Alors que tu me lis,
Et j’imagine, en corps,
Tes beaux yeux qui m’honorent,
Leurs éclats envoûtants
Qui caressent mon temps,
Et brouillent mes pensées
Rêvant à t’enlacer
Alors que je t’écris
De ma plume folie
Ce Désir pénétrant
Qui affole mon sang
Et trouble au quotidien
Mes actes qui ont faim
De Tes souffles ardents
Aux soupirs amants,
De Tes hanches lascives
Aux si chaudes cursives,
Dont mes mots sont friands,
Frémissant sous le vent
De leurs fines suppliques
À Tes marées magiques
Qui hèlent au Féminin…
Mes houles au Masculin.
Aussi, quand je compose,
Ivresses d’hyperdoses
Aux afflux d’émotions
Courtisant ma passion,
Je brûle d’ignition
Enfantant Ce Bonheur
Cajolé par Tes heures.
Et, Aède Bienheureux
Brillant des mille feux
Qu’il sait en Toi sertir
Pour Te les mieux offrir
Chaque jour un peu plus,
Je me dévoile, à nu,
Épousant Ton Sourire
Pour en Toi Devenir
Ce Chevalier Servant
Aux odes T’étreignant,
Ce Féru Messager
De Mon Art de T’Aimer
Qui tout en moi chérit
Au plus profond de lui
Ce jour où apparut
En ma vie saugrenue
Ton si… « Minois Joli » ,
Que j’en perdis l’esprit,
Pour Ses Mirettes Douces
Et Ton Cœur sous Ses Mousses,
Pour Ta Féminité
Que je ne sus quitter.
Elle abreuve si fort
D’Amour Secret mon corps
Qui tant Te sait Rêver
Pour mieux encore T’Aimer,
Nonobstant cet abyme…
Plaie vive entre nos cimes.
Oui ! Je Te Désire Toujours,
Gourmet de Ton Amour
Où je m’infuse en creux
Pour voir avec Tes yeux,
Et boire à Ton Sourire
Qui s’invite à me lire.
Ce Désir, je Te l’offre,
Précieux bijou d’un coffre
Riche de Mes Beautés,
Que j’immole à tes pieds
Afin qu’elles T’appartiennent,
Vibrant de mes antiennes
Voguant vers Tes Astrées
Que tant j’aime invoquer
Pour y noyer Mes Feux,
Lovant en Ton Regard
Aux scintillances rares
Mon ego qui Te crie…
Son âme et Mon Envie
Amantes de Ces Cieux
Qu’irradient tant Tes Yeux
Et Tes Sens Insoumis,
Pour lesquels s’alanguit
Mon Être ensorcelé
Qui T’écris Son Acmé
À l’encre de Mes mots
Aux émois cardinaux.
Défiant toute morale,
Ils T’invitent à ce bal
De Mon Ivresse Folle
Qui pour « TOI » caracole,
De Nuit comme de Jour,
Brodant d’oublis « D’AMOUR »
Ce Nid, pour Moi si Doux,
Où je cueille ce « NOUS »
Qui invite Nos Vies
À s’oublier ainsi,
Sur l’onde D’un Plaisir
Géniteur du « DÉSIR »,
Qu’elles savent, raffinées,
Ensemble sanctifier
D’une Béatitude
Gommant nos solitudes.
Lors, en Toi je suis… Nu !
Folie penseras-Tu !
Oui ! Pour Ton Minois Joli,
Moi… J’ai perdu l’Esprit.
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