ELISIONS...
ÉLISIONS
J'ai lu tes mots ouverts
En spontanés oublis,
Puis pleuré ceux couverts,
Ces mots dédiés à lui,
Soulignant ma misère
Des choses de l’esprit,
L’inélégance amère,
La grâce qui me fuit…
Alors, en mon parterre
Je me sentis petit,
Petit vers solitaire
Qui n’était pas joli
En son brouillon de chair
Pas encore abouti,
Lors tu étais Princière
Et lui, Seigneur grandi.
Ainsi sur cette terre
Je me sentis maudit,
Vibrato solitaire
D’un amour infini
Qui ne sachant se taire
Tutoya ma folie
De ses vagues amères...
Où tu t’évanouis,
Mirage, de mon désert.
Je te pleure aujourd’hui.
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