AURORE
AURORE
Silhouette blessée
Oppressée par l’obscur,
Tu scrutes dans l’azur
L’éclat de ta beauté.
Or, l’aurore c’est Toi,
En mille flots de jour,
Mille écumes d’amour,
Et tu ne la vois pas.
Ferme tes yeux ! Aubade,
Plonge vers l’intérieur…
Reflets des profondeurs
Où ton regard s’évade.
Caresse ta psyché
Aux flammes passionnelles,
Cette femme éternelle
Brûle sans s’assécher.
Tu es l’aurore, toujours,
Cette bulle d’été
Aux vagues diamantées,
Tout en Toi, tout autour.
C’est toute ton histoire
Qui embrase ton cœur,
Tes doutes, tes couleurs,
Jusqu’à tes éclairs noirs.
Puise sans interdits,
Au trésor frémissant
De l’essor de ton sang,
À tes sources d’envies.
Muse de ses émois,
De l’astre souverain
Tu es « Le Féminin »
Car « Aurore », c’est Toi,
Qui fait l’amour avec ses Feux
Jusqu’à souffrir d’aimer,
D’aimer le désirer…
Maîtresse de ses jeux.
Essences de son corps,
Sens plus que parfaits
Sans cesse elle renaît,
Jamais ne meurt « Aurore ».
Tu es si belle nue !
Soulève tes paupières
Amante de lumière,
Ta nuit a disparu.
Phébus T’accompagne,
Il caresse Ta joue,
En lui tu te dissous,
Et Son Bonheur Te gagne,
Et tu brilles pour... Nous !
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