AIME… TOUJOURS !
AIME… TOUJOURS !
Au jeu tranchant de l’Amour chaque parcelle laissée en friche devient acide, puis brûle et ronge inéluctablement les vernis de nos cieux les moins artificiels, parfois même les plus solides rocs paraissant éternels. Alors, bonjour Tristesse, bonsoir Bonheur, coule les heures vers le malheur à l’un de l’autre s’éloigner si nous n’y prenons garde, lors, cela même ne suffit-il pas toujours à sanctuariser entre deux Êtres Aimés l’Amour qui les aura un jour baignés, car, tout doucement, au rythme lent d’ennui latent aux habitudes grises, et de renoncements qui eux aussi tant s’éternisent et nous affligent, de rêves avortés aux amères frustrations subies et imposées, de reproches voilés, et, chapeautant le tout, qui est loin d’être en reste, cette implacable usure de nos belles envies, de nos espiègleries que peu à peu ensemble et pour deux feux, chacun de nous oublie.
Alors, le cœur aigri, les pensées vides, les sens en éternel repos, le long manteau froid de la mort s’étale devant soi, sans qu’on n'y prenne garde.
Aussi, Toi, femme Aimante, et Toi son Tendre Amant ; Vous deux, femmes s’aimant, comme vous deux aussi, hommes, et tout autant ; vous tous, couples unis depuis peu ou longtemps, Maîtresses et Amants, amoureux en sursis, veillez toujours à magnifier l’Amour qui embellit vos vies pour le nourrir en chaque jour qui passe des fruits de vos Désirs, de vos imaginaires ivres de vos plaisirs, pour jouir sur vos terres de vos élans d’esprits, de cœurs et de corps, encore et encore, sans jamais rebrousser vos pas, vous deviendriez las.
Or, l’Amour n’apprécie guère qu’on l’oublie comme ça ; alors Courrez sur vos vies arc-en-ciel, ne vous retournez pas, toujours apprêtez-vous, vous belles et vous beaux, pour jouir tout en Lui de vos plus Doux appâts, de sentiments choisis qui sont ses mets de Roi.
Ainsi, Ami, Amie, croque Ton aujourd’hui en Te confiant à Lui pour y bâtir Tes lendemains d’authentiques sourires aux si mutins Désirs et de joies partagés en cet Amour sanctifié, ou parfois clandestin amant de Ton destin si le premier cité devait un jour s’user ou par trop s’endormir oubliant ses Passions et ses émois endimanchés, si précieux éternels agrégats hier adulés autant qu’acidulés, pour, qu’ici et maintenant, en ce couloir du temps présent où tu t’ébats, qui sait encore te dorloter, s’il ne t’a pas abandonné, pour toujours avec Amour courtiser ses beaux jours où tu Te sens Aimé, où l’on T’Aime en retour en ce grand tourbillon du grand bain de l’Amour pour deux félicités, qui sait fleurir Tes heures de belles libertés dédiées au Bonheur, Amphitryon vainqueur, qui savent T’incendier.
Alors, Oui ! Use, abuse, insatiable longtemps et jusqu’au bout du souffle qui t’habite, de cet Amour fervent qui de Toi, et parfois tant, s’éprend.
Vis, ris, AIME, jouis ! N’hésite pas à lui dire « OUI ! », offre Ta vie à Son Doux nid qui Te Chérit, Te nourrit, Te construit, puis… T’anoblit.
Aime ! En Ta Vie qui avance
Offre-toi cette chance,
Cette Romance-là.
Va !
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