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RENCONTRE – DÉCLARATION

TILT !

Ainsi m’apparus-tu !

Vers Fleuris de Ton Âme,

Bel Esprit, Belle Dame,

Rencontre de hasard,

Amitié sans brouillard…

De Tes mots, harmonies,

Naissaient… Mélancolie

Et souffrances profondes,

Aussi… Amour du monde,

Intimes abandons,

Chauds sourires, fripons.

Et… En limpidité,

Ton Aura Parfumée

Me chuchotait, Subtile,

Ses Flammes pures, graciles,

Qui frémissaient, Ardentes,

En Émotions Troublantes

Confiées sans retenues,

Nymphes de Ce Vécu

Dont Ton temps s’est Paré,

Intenses voluptés

En nouvelles ascensions

Insufflant leurs passions

Au sein de Tes années,

Qui surent ainsi Oser…

Franchir le Rubicon

De Ta Noble Raison.

Car Ton Cœur a vingt ans,

Et Ton Regard, Fervent,

Fuit ces vagues d’ennui

Qui cernent Ton Logis.

Ainsi, délaissant l’amertume

Ce Grand Large Tu humes,

Et, Aède de Ta Vie

Aux rêves infinis,

Légère comme l’oiseau

Qui survole ses eaux,

Souhaites-tu Refleurir,

Parée de Tes sourires

Qui m’offrent en Cadeau,

De Ton Âme… Le Sceau !

Elle ! Qui déclare la guerre

À ces saveurs amères

Des mille et un regrets

Qui peuplent Ta Forêt

Accorde ses Pavois

À Ces Désirs et Joies

De Tes heures d’aujourd’hui…

Qui T’explosent d’Envies,

Lors à Toi, Femme Fleur

Qui enivre Mon Cœur,

J’ouvre Ce Sanctuaire

Des Joyaux de Ma Terre,

Que sont : Mon Amitié

Au Cœur d’Amour, Voilé,

Et Ma mâle Fraîcheur,

Complices de Couleurs

Qui savent affoler

Nos saisons décalées

Embrasées d’un Bonheur

Virtuose et vainqueur

Sachant les Apparier,

Sans jamais Les Blesser,

En harmonies de Cœurs

Compagnes de Nos heures

Ourlées d’intimités

Aux si Tendres Portées,

Qui ensemble Nous choient

De Cette Idylle aux Doux Appas

Qui joue à l’Aguicheuse

De Nos Âmes Heureuses,

Qu’elle souhaite Couronner

De Nos Félicités.

Épousons Ses Allants,

Confions-nous à Ses Vents

Qui peaufinent encore…

Nos Souffles en leurs essors.

Ici et Maintenant,

Dégustons Ses Présents

Qui nous lient en accords…

Ennemis de la mort.

Éthérés où de sangs,

Révélons-Nous Amants !

En Nos Enlaces Nues

Chérissons l’Absolu

De Ces Déferlements

Qu’un penchant s’éprenant

De Nos Êtres Enflammés…

Offre au verbe “AIMER”,

Seigneur “Du Doux Tourment”

Comme “Nous” chérissant,

Précieuse et Ciselée,

Cette Bulle d’Acmés

Bénie par Son Désir…

Qu’il “Nous” offre pour y Jouir

Des feux ardents de Nos Clartés

Tant assoiffées de Ses Beautés,

Fontaines où l’on expire

En Cimes de Plaisirs

Offertes à l’hyménée

Qui “Nous” sait Embraser,

Toi comme Moi, d’Intimités

Que tant j’aspire à caresser !

Forgera-t-elle “Notre” Avenir

Où saura-t-elle “Nous” éconduire ?

“Tu” es “Ma Flamme”,

Ô ! Mon Aimée !