ÉROSIA... MON AMOUR !
ÉROSIA... MON AMOUR !
Érosia, Mon Amour, j’Aime ton corps, ta rose, et ton Désir qui ose, mais plus encore tes yeux qui subliment ces feux aux flammes cardinales, majuscules sésames de tes ris délicieux en lesquels mon âme se damne à qui mieux mieux. Tu m’es plus que Déesse qui courtise mes cieux, tant femme pécheresse tu attises mon sang, femelle aux folles messes de nos bals amants. L’Amour par Toi exulte, et tu me catapultes où je m’encapuchonne, en l’univers béant de ta féminité qui te couronne Reine de ma fécondité. Tout en Toi me subjugue, m’enivre et me possède, je ne suis plus carême me noyant en Tes jeux où ma vie enfin s’aime aux reflets de tes yeux qui m’adoubent… Moi-même.
Sainte d’un univers condamné par les sots, succube de mon être, du bonheur de mes mots, en toi seule je veux naître, jouir et vivre haut, sans plus courber la tête face à ces faux dévots qui jadis furent mes maîtres, alors que j’étais sot.
Erosia, Mon Amour, j’Aime ton corps, ta rose, et ton Désir qui ose à mon Désir céder en ce divin brasier qui sait nous enlacer au mi-temps d’un baiser. Mon cœur, lui, plus encore, à ton corps qu’il adule, t’offre en leurs majuscules mes soupirs d’émois qui prennent vie par toi, pour toi qui tout en moi me hante, femme, femelle béante, aède aux charmes fous, compagne sans tabous, découvreuse d’un tendre qui saurait nous surprendre en premier rendez-vous.
Depuis ce jour béni par les dieux de l’Olympe, et tous ceux de ma vie, par celui de l’Amour qu’en son ciel je prie, par ta grâce diffuse où je me réfugie, comment t’avouer mieux ton emprise sur moi, Femme tant désirée, quand je demeure sans voix devant la majesté de Ta Féminité à laquelle je crois depuis que tu es là, dentelant mes pensées, mes vœux, et ce pourquoi depuis ce jour, « Ton Jour », en « Toi seule » je croîs, né « pour Toi » enfin homme à la foi rédemptrice qui depuis ce jour-là conçut ma destinée ne s’inscrivant qu’en « Toi », mon Amour Érosia qui tant fait corps en Moi, que c’est à travers « Toi », au sein de ton aura, qu’ici chez moi je suis à « TOI », ou je ne vivrais pas, MON AMOUR…
ÉROSIA !
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