COMPLAINTE… D’UN AUTOMNE
COMPLAINTE… D’UN AUTOMNE
L’écho demeure muet lors m’échappe ce cri.
Mon horizon se voile alors qu’Elle s’enfuit,
Et mon éther n’est plus que l’orbe d’un silence
Où se dilue mon Être, en sinistre béance.
Diamant de mon âme, s’évapore Son Amour.
Mue-t-il en amitié ! Il me manque toujours,
Et mes émotions seules pansent mon cœur ardent,
Les siennes ont déserté… En silence oppressant.
Elle, qui m’a quitté, ne me tend plus ses mains.
Fané, je respire à moitié cet air où je m’éteins,
Et mon regard perdu, aux reflets du couchant
Teinte son abandon de mes larmes… Océan.
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