C’EST AINSI QUE TU BRILLES
C’EST AINSI QUE TU BRILLES
Tu es si beau poème !
Lors je Te découvrais
Une émotion naissait,
Éprouvais-Tu la même ?
Émue par Ta Beauté,
Et qui n’est pas amère,
Cachée sous ma paupière
Une larme y est née.
Diamant de Ma candeur
Caressant Tes pensées,
Elle aime à scintiller
Aux rives de Ton Cœur.
Ainsi, de lire Tes mots
M'est toujours Ce Bonheur
Qui tant chérit Mes heures,
De Tes saveurs Coquelicot.
Une cloche résonne, Oui !
Ding, dong, jusqu'à Ta porte
Vers Toi elle M'emporte,
Alors… Tu Me souris
Et chasse de Tes notes
Ce spleen empoisonné
Qui m’avait crucifié,
Résonnant d'autres sortes
Que celles de ce glas
Aux souffrances acérées,
Qu’elle sut ainsi chasser,
Lors Toi, pour Moi
Fleur du jour d’un éveil
Au soleil d’Apparat,
Par la Douceur de Tes soies
Tu libéras ma treille
D’un miséreux trépas
Par deux Dons Merveilleux :
Cet Espoir en Tes yeux,
Et La Ferveur de Mes bras
Pour enlacer Tes Cieux
De Muse Majuscule
Aux Tendres Ventricules
Rythmant Ton Cœur Soyeux.
C'est ainsi que Tu Brilles
Belle de Mes matins,
Que Ta chaleur M'atteint,
Celle qui M'émoustille
De Ton Sourire Mutin
Et si Plein de Surprises
Aux vagues qui s'irisent
Des vents de Ton Destin,
Tant nourris de franchise
Et de Bonheur Câlin
Aux détours Séraphins
Chassant Mes heures grises
De Tes Langueurs Cerises,
Que l'Amour et l’Émoi
Tant distillent en Moi…
Pour Toi… Mon Héloïse,
Ma Divine Surprise.
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