POETE DE CALIOPPE
POÈTE DE CALIOPPE
Combien, avec passion, ai-je écrit de poèmes
Où les âmes se lient, où les cœurs s’éprennent ?
Je ne suis pas Hugo, je ne vaux pas Molière,
Mais je chéris les mots ! Je compose des vers,
À la Femme Éternelle, aux idées, à l’ami,
Décorant le feuillage de mon arbre de vie.
De l’astre éblouissant qui m’irradie le cœur,
Baignés par ses rayons, tempérant son ardeur,
Leurs ombres ainsi portées, aux nuances soyeuses,
Caressent alors mon âme d’émotions merveilleuses.
Aux frontières de ma vie, en son jardin secret,
Des effluves divins brillent dans leurs sonnets.
Et je respire ainsi les plaisirs de ce monde,
L’air serein des soirs, la tempête qui gronde.
Espiègles, polissons, bourreaux de mon chagrin,
Ils m’ouvrent l’horizon, mon regard porte loin.
De mon esprit fécond, par ma main réjouie,
Ils habillent mes rêves d’une douce harmonie.
Source éternelle de bonheur souverain,
Je flâne en poésie sur ma route d’Humain.
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